Lors de la dernière conférence OpRisk 2018, plusieurs représentants d’organismes et régulateurs financiers s’accordaient à améliorer leur organisation en matière de management du risque, en nommant des managers dédiés aux risques non-financiers.
Des grands acteurs bancaires, dont Deutsche Bank, UBS, Credit Suisse ou encore Banco Santander, n’ont pas caché leur interêt sur ce domaine.
Certains banquiers n’hésitent pas à préciser que le risque non-financier pourrait très prochainement dépasser le Credit Risk en terme d’importance.
Selon certains participants « la prochaine crise {financière} sera issue d’une combinaison de risques financiers et non financiers. Les risques sur les liquidités, opérationnel, réputationel mis ensembles vont créer des perturbations de marché. » et d’ajouter : « disposer d’un groupe de professionnels qui suivent ces évènements pourraient mieux nous protéger ».
Source : Risk.net (ENG)
Le 12 octobre 2025, la commission juridique du Parlement européen a adopté le texte de…
Déjà touchée récemment au plus haut niveau par des affaires de corruption, l'Espagne atteint désormais…
Ce cas illustre le risque plus élevé de frictions internes issues d'intérêts divergents sur des…
En juillet 2025, l'Ukraine a connu une crise institutionnelle majeure dans le cadre de sa…
Dubaï et de nouveaux centres financiers mondiaux attirent désormais la finance illicite et l'argent corrompu…
L'affaire PAPREC est représentative des risques qui menacent les interactions entre la filière déchets et…